LES BIENFAITS





RÉDUIT L'ANXIÉTÉ

AMÉLIORE L'HUMEUR

AMÉLIORE LE SOMMEIL

SOULAGE LA DOULEUR















RÉDUIT L'ANXIÉTÉ



En raison de son effet physiologique, une musique relaxante peut atténuer la douleur et l’anxiété en faisait baisser le taux de cortisol (une hormone associée au stress) et en libérant des endorphines qui ont des propriétés à la fois calmantes, analgésiques et euphorisantes.


La musicothérapie est recommandée comme adjuvant aux soins médicaux auprès des individus hospitalisés. En outre, des essais cliniques ont montré l’efficacité de la musicothérapie pour réduire l’anxiété en soins palliatifs, au cours de procédures médicales diverses (en phases pré et postopératoires), dans la prise en charge de la lombalgie chronique et auprès de patients souffrant de troubles respiratoires ou de problèmes cardiaques.










AMÉLIORE L'HUMEUR




Plusieurs études indiquent que la musicothérapie peut contribuer à améliorer l’humeur, et ce, auprès de diverses populations.


Elle aurait ainsi des effets positifs sur les patients hospitalisés en rendant le séjour à l’hôpital plus agréable pour eux comme pour les membres de leur famille. Elle limiterait les perturbations de l’humeur liées à l’autogreffe de cellules souches et contribuerait à améliorer l’humeur des travailleurs en soins de longue durée.










AMÉLIORE LE SOMMEIL



Les effets apaisants d’une musique douce – instrumentale ou chantée, enregistrée ou en direct – ont été observés à tous les âges de la vie.


Selon les résultats d’études cliniques effectuées auprès de personnes âgées, la musicothérapie pourrait faciliter l’endormissement, diminuer le nombre de réveils, améliorer la qualité du sommeil et en augmenter la durée ainsi que l’efficacité.










SOULAGE LA DOULEUR



Plusieurs études indiquent que la musicothérapie peut contribuer à améliorer l’humeur, et ce, auprès de diverses populations.

Elle aurait ainsi des effets positifs sur les patients hospitalisés en rendant le séjour à l’hôpital plus agréable pour eux comme pour les membres de leur famille.


Elle limiterait les perturbations de l’humeur liées à l’autogreffe de cellules souches et contribuerait à améliorer l’humeur des travailleurs en soins de longue durée.