On August 13, 1961, in the middle of the cold war, the Soviets built a wall around the western capitalist part of Berlin (FRG) that the West, that is to say the British, the Americans and the French, shared.

Residents of these neighborhoods found themselves stranded at home. Supplies were organized by air but Stalin managed to divert them. His goal: to empty this part of Berlin into a forced labor camp (gulag).

Residents were therefore allowed to leave the area, but no one could enter it.

Revolted, the inhabitants began to demonstrate, to try to break the wall, but the Communists, heavily armed, did not change their plan in any case. Stalin had plenty of time. Some left the area very quickly, others wanted to die at home.

Anyway, the area was emptied after a few months, but the streets had changed. As a farewell, a huge number of citizens had painted the walls of their homes, sometimes leaving messages insulting the system, and encouraging future detainees who arrived at their homes.

The intensity and violence of the facts is perfectly felt through these paintings, the only remaining traces of this era. Anyway, once the neighborhood was emptied, Stalin started to feel psychological troubles and was quickly diagnosed with madness, suffering from dementia. He died very quickly from a brain hemorrhage.

The area remained closed long after his death, although many people tried to enter it. Today, still surrounded by the wall, we can access these dead quarters by various risky means. Often frequented by a marginal population such as junkies and homeless people, the district is completely dilapidated and represents a shame for the USSR.

Vladimir Putin always avoids the subject and said he had to deal with it as soon as possible. Anyway, this ghost area, today called "RFA GALLERY", represents a real environmental museum, decorated with colors and ruins.

Le 13 août 1961, en pleine guerre froide, les soviétiques ont construit un mur autour de la partie ouest capitaliste de Berlin (RFA) que les Occidentaux, c'est-à-dire les Britanniques, les Américains et les Français, se partageaient.

Les habitants de ces quartiers se sont retrouvés bloqués chez eux. Des approvisionnements ont été organisés par voie aérienne mais Staline réussi à les détourner. Son but: vider cette partie de Berlin pour en faire un camp de travail forcé (goulag).

Les habitants étaient donc autorisés à sortir de la zone, mais personne ne pouvait y entrer.

Révoltés, les habitants se mirent à manifester, essayer de casser le mur, mais les communistes, lourdement armés, ne changèrent en aucun cas leur plan. Staline avait tout son temps. Certains quittèrent la zone très rapidement, d'autres voulaient mourir chez eux.

Quoi qu'il en soit, la zone fût vidée après quelques mois, mais les rues avaient changés. En guise d'adieu, énormément de citoyens avaient peint les murs de leurs maisons, laissant parfois des messages insultant le système, et encourageant les futurs détenus qui arrivaient chez eux.

L'intensité et la violence des faits se ressent parfaitement à travers ces peintures, seules traces restantes de cette époque. Quoi qu'il en soit, une fois le quartier vidé, Staline commença à ressentir des troubles psychologiques et fût très vite diagnostiqué de fou, souffrant de démence. Il décéda très vite d'une hémoragie cérébrale.

La zone resta fermée très longtemps après sa mort, malgré que beaucoup de gens essayait d'y pénétrer. Aujourd'hui, toujours entourés du mur, on peut accéder à ces quartiers morts par différents moyens risqués. Souvent fréquentée par une population marginale telle que des junkies et des sdf, le quartier est complétement délabré et représente une honte pour l'URSS.

Vladimir Poutine évite toujours le sujet et a affirmé devoir s'en occuper dans les plus brefs délais. Quoi qu'il en soit, cette zone fantome, aujourd'hui baptisée sous le nom de "RFA GALLERY", représente un véritable musée environnemental, orné de couleurs et de ruines.